Sécurité & qualité globales des installations électriques
Consultez nos dossiers techniques consacrés à la sécurité et à la qualité globales des installations électriques.
-
Sécurité incendie : un détecteur normalisé de fumée dans chaque logement au plus tard d’ici 2015
Au-delà de l’obligation d’installer un détecteur normalisé de fumée dans chaque logement à compter du 8 mars 2015, la loi Morange sensibilise chacun d’entre nous à la sécurité domestique. Ce vaste chantier, qui concerne l’ensemble du parc des logements, constitue également un levier pour l’installateur électricien, pour qui s’ouvre plus largement le marché de la sécurité dans l’habitat et son rôle de conseil. Voir
-
Le rôle des câbles en matière de sécurité incendie : réaction au feu et nouvelle classification
Les câbles de protection au feu (CPF) font aujourd’hui l’objet d’avancées remarquables au bénéfice de la sécurité incendie. Le système français de classification de la réaction au feu des câbles va être remplacé par les “Euroclasses“. Les installateurs devront connaître cette classification et les choix qui en découlent.
Voir -
Équipement électrique de la salle d’eau
La salle d’eau est une pièce à risques particuliers pour les personnes. C’est pourquoi la norme NF C 15-100 a prévu des dispositions particulières pour ce type de local, en fonction de la proximité d’une baignoire ou d’une douche. Les règles de l’amendement 2 prennent en compte les nouvelles architectures des salles d’eau ainsi que les évolutions de certains matériels électriques.
Voir -
Installation à basse tension : mise en oeuvre des canalisations et des connexions
Dans les installations électriques à basse tension, la pose des canalisations et la réalisation des connexions obéissent à des règles de l'art très précises décrites dans la norme NF C 15-100 et dans le guide UTE C 15-520.
Voir -
L’éclairage de sécurité
L’éclairage de sécurité balise les cheminements, les obstacles et les changements de direction jusqu’aux sorties, pour permettre une évacuation sûre et efficace de chaque occupant, y compris des personnes en situation de handicap. Il assure un éclairement minimum pour éviter tout mouvement de panique lors de l’évacuation et pour faciliter l’intervention des secours. Son rôle est donc double : assurer l’évacuation et la fonction anti-panique.
Voir -
Les blocs autonomes d’éclairage de sécurité (BAES et BAEH)
Un bloc autonome est un appareil qui se suffit à lui-même. La défaillance d’un bloc autonome ne provoque pas la mise en hors service de l’ensemble de l’éclairage de sécurité.
Voir -
Éclairage en très basse tension : une mise en œuvre très particulière
En matière d’éclairage en très basse tension, seule la très basse tension de sécurité (TBTS) est admise ! Une installation d'éclairage TBT doit faire l'objet de précautions de mise en œuvre particulières, afin d’assurer la sécurité des personnes et des biens et de garantir la facilité d'accès aux équipements pour la maintenance.
Voir -
Les dispositifs différentiels
Les dispositifs à courant différentiel résiduel (DDR) protègent les personnes contre les contacts indirects avec des masses en défaut. L’emploi de dispositifs différentiels à haute sensibilité (30 mA) constitue également une mesure de protection complémentaire contre les contacts directs, en cas de défaillance des autres mesures de protection ou en cas d’imprudence des usagers.
Voir -
Solaire photovoltaïque : sécurité et performance
L'électricité d'origine photovoltaïque répond à de nombreux enjeux actuels : déployer les sources d'énergie renouvelable, décentraliser la production d'électricité et permettre de consommer une énergie à faible impact environnemental. La réglementation thermique encourage chaque projet de construction à se doter d'une source de production photovoltaïque. Toutefois, cette approche de l'énergie solaire ne doit pas occulter les aspects techniques de dimensionnement et de mise en œuvre. En dépendent la sécurité des personnes et des biens, mais aussi le retour sur investissement de chaque projet.
Voir
-
Diagnostic électrique obligatoire : 6 000 rapports analysés
Le diagnostic électrique obligatoire permet de connaître les premières tendances sur l’état des logements faisant l’objet d’une transaction immobilière. L’analyse de 6 000 dossiers révèle les lacunes des installations électriques souvent anciennes, vétustes, voir dangereuses. Voici un enseignement riche de sens pour les acteurs de la filière électrique ainsi que les professionnels de l’immobilier. Voir
-
La vérification des installations électriques des locaux à usage d'habitation
Toute nouvelle installation électrique doit être contrôlée préalablement à sa mise sous tension. En local d’habitation, cette vérification initiale est exercée par le Consuel. Une fois en service, celle-ci vieillit en fonction de l’utilisation qui en est faite et de l’usure naturelle des matériaux. Il est donc recommandé d’en faire périodiquement un bilan. Voir
-
Protéger logements et locaux contre les effets de la foudre
Se protéger contre les effets de la foudre, c’est avant tout garantir la sécurité des personnes et des biens, tout en assurant la continuité de service des installations électriques. Selon le contexte et le niveau d’exposition, la mise en œuvre d’un paratonnerre et/ou de parafoudre(s) doit respecter des règles précises.
Voir -
Mise à la terre des immeubles existants
De nombreux immeubles d'habitation anciens sont dotés d'une installation électrique qui n'est plus aux normes. Dans la plupart de ces immeubles, la mise à la terre est elle-même absente de l'installation. Une mise en sécurité s'impose.
Voir